Les différentes disciplines équestres montrent de quelles performances sportives impressionnantes le cavalier et le cheval sont capables, pour autant qu’ils disposent d’une formation adéquate. Nombre de ces disciplines équestres sont même des disciplines olympiques. Dans cet article, tu trouveras un aperçu des différentes disciplines équestres et de leurs particularités.

Qu’est-ce que les « sports équestres » ?

Les sports équestres sont un domaine sportif important qui englobe tous les sports qu’un homme pratique avec un cheval comme partenaire sportif. Les compétitions qui ont lieu dans les sports équestres sont appelées « tournois » dans le jargon.

Les sports équestres présentent de nombreuses facettes. Il existe les disciplines les plus diverses, mais toutes ont un point commun : le partenariat et l’amitié entre le cheval et l’homme sont toujours au centre des préoccupations ! La formation d’un cheval de sport dure plusieurs années et présuppose toujours une relation raisonnable, affectueuse et confiante avec l’animal. L’entraîneur, mais aussi le cavalier, doivent toujours faire preuve d’une grande empathie. Ils doivent pouvoir se mettre à la place du cheval, car c’est la seule façon d’obtenir la coopération du cheval – ce qui est indispensable pour réussir dans le sport équestre.

De nos jours, les sports équestres sont plus variés que jamais : outre l’équitation classique de « loisirs », qui consiste à se promener ensemble et à se détendre dans la nature, il existe de nombreuses autres disciplines équestres telles que le polo, les courses, le dressage, le saut d’obstacles, la voltige artistique (exercices de gymnastique et d’acrobatie sur le cheval) et bien d’autres encore.

Dans cet article, nous souhaitons te montrer l’étendue de ce magnifique sport équestre et te donner un aperçu plus approfondi des différentes disciplines équestres.

Quels sont les avantages des sports équestres ?

Les sports équestres t’apportent de nombreux avantages, par exemple :

  • Plus d’endurance pour le système cardio-vasculaire, grâce à l’activité sportive (souvent en pleine nature).
  • Proximité et confiance entre le cheval et l’homme : en montant à cheval, les deux s’accordent et développent une confiance intime l’un envers l’autre. La proximité avec le cheval ainsi que les soins apportés à l’animal (par exemple le pansage) ont en outre pour effet de réduire le stress. L’équitation peut donc également être utilisée comme thérapie.
  • Meilleure posture et meilleur équilibre : les mouvements variés des sports équestres favorisent un équilibre sain. Les personnes qui pratiquent régulièrement un sport équestre renforcent les muscles du tronc qui stabilisent la colonne vertébrale et améliorent ainsi leur posture globale, et pas seulement sur le dos du cheval.
  • Pour les enfants en particulier, les sports équestres favorisent le sens des responsabilités et l’empathie envers le partenaire qu’est le cheval ou le poney.

Quels sont les différents sports équestres ? – Un aperçu

Les sports équestres peuvent être divisés en plusieurs domaines principaux : « équitation », « voltige », « travail au sol » et « attelage ». L’équitation est le sport équestre le plus connu, avec de nombreuses disciplines olympiques différentes.

Dans les sports équestres, il n’y a d’ailleurs pas de séparation des sexes chez les cavaliers et les cavalières, et il n’y a pas non plus de classification par sexe ou par race chez les chevaux. Cheval equestre. La seule différence entre les chevaux est la taille, c’est-à-dire entre les poneys (taille au garrot jusqu’à 1,48 mètre) et les chevaux (taille au garrot à partir de 1,49 mètre).

Les disciplines équestres sont les suivantes :

Dressage

En dressage, le cheval et le cavalier semblent se fondre l’un dans l’autre et se déplacent comme un couple de danseurs harmonieux : Le sport équestre devient pour ainsi dire un art équestre lors du dressage.

L’objectif fondamental du dressage est d’éduquer le cheval à l’aide de différents exercices de gymnastique et de préserver la santé du cheval.

Au fil du temps, différents types d’équitation de dressage ont vu le jour. Très tôt, on s’est penché sur la manière la plus efficace et la meilleure de dresser un cheval, mais toujours en partant du principe que l’animal devait rester en bonne santé à long terme. Les exercices et les leçons basés sur les principes du dressage classique sont un moyen efficace d’atteindre précisément ces objectifs de maintien de la santé, de gymnastique et de formation. En outre, le dressage vise à améliorer les allures de base du cheval.

C’est l’allure du trot qui peut être le plus améliorée par une bonne équitation de dressage. Les chevaux bien entraînés se laissent volontiers regarder lorsqu’ils trottent de manière sublime et dressée : (Cheval centre equestre). Comme pour presque tous les mouvements, les bases sont ici aussi d’une importance capitale. La posture d’extension doit être correctement montée au trot. En outre, le cheval ne doit pas souffrir d’une musculature dorsale tendue. Un trot expressif, sain et puissant ne peut toutefois pas être obtenu par une équitation monotone ou répétitive. Il faut plutôt varier les plaisirs : il s’agit essentiellement d’entraîner et de renforcer les muscles de l’arrière-main et du dos du cheval. C’est précisément à cela que peut contribuer une équitation de dressage variée, par exemple.

Un cheval bien monté, entraîné et en bonne santé est la meilleure condition pour la sécurité et le succès dans les sports équestres. Le dressage renforce les performances du cheval, le tonifie et rend ses membres plus souples.

Le dressage fait partie des disciplines olympiques dans les classes Grand Prix libre, Grand Prix ainsi que Grand Prix spécial.

Saut d’obstacles

Dans cette discipline équestre, le cheval et le cavalier prennent leur envol en franchissant des parcours d’obstacles et de sauts de la manière la plus stylée possible, sans faute, rapidement et sans chute.

La hauteur, le nombre et le type d’obstacles varient en fonction du niveau de difficulté des parcours de saut d’obstacles. Pour surmonter parfaitement ces différents obstacles, il faut une relation de confiance fondamentale entre le cheval et le cavalier, ainsi qu’une solide formation de base. Ce n’est que lorsque le cavalier est en mesure de diriger et de contrôler correctement le cheval que les sauts peuvent être réalisés avec succès.

Pour qu’un cheval puisse sauter des parcours avec succès, il doit donc posséder les bases du dressage : « Sans dressage, pas de saut » – telle est la devise. L’entraînement au dressage favorise d’une part l’aptitude du cheval à la selle : c’est indispensable pour que le cheval et le cavalier réussissent à traverser le parcours de manière contrôlée et surtout sûre. Dans cette discipline équestre, le cavalier doit souvent prendre des décisions en une fraction de seconde et le cheval doit les appliquer immédiatement. Le cheval doit donc réagir aux aides du cavalier et le suivre en toute confiance.

D’autre part, une bonne formation au dressage protège des blessures, ce qui est un élément central pour le maintien de la santé de l’animal. Une formation gymnique complète est la base du saut d’obstacles. Un cheval dont le dos et le reste du corps sont raides et immobiles ne peut pas réagir de manière adéquate aux défis physiques du saut d’obstacles.

Un cavalier ou une cavalière de saut d’obstacles se distingue donc par son courage, sa rapidité, son équilibre, son sens du rythme et son habileté technique. De plus, il faut une action précise des aides du cavalier pour faire passer les différents obstacles au cheval de manière sûre et correcte.

En saut d’obstacles, il existe trois formes d’épreuves différentes :

Épreuve de saut d’obstacles : ici, ce sont surtout des critères tels que la facilité sous la selle, la maniabilité du cheval ainsi que le niveau de formation correspondant à l’âge qui sont évalués.

Épreuve de saut de style : ici, l’accent est mis sur le style, la régularité de la monte et l’influence du cavalier sur son cheval.

Épreuves de saut d’obstacles : Ici, on évalue des critères tels que les fautes d’obstacles ou le temps utilisé. Le vainqueur est le couple cheval-cavalier qui a réussi à franchir le parcours d’obstacles le plus rapidement possible et sans faute.

  Tondre les chevaux : Modèles de tonte pour les chevaux

Depuis 1912, le saut d’obstacles fait partie des disciplines équestres olympiques.

Concours complet d’équitation

Autrefois, le concours complet d’équitation était également appelé « military » : Cheval centre equestre lyon. Aujourd’hui, on utilise le terme « événementiel » ou la désignation internationale officielle « Concours complet » (CC).

Pour de nombreux amateurs de sports équestres, le concours complet est la couronne des sports équestres. Le concours complet se compose de trois sous-disciplines :

Dressage : cette discipline constitue le début du concours complet et est montée individuellement.

Randonnée équestre : cette deuxième épreuve partielle est une randonnée sur un parcours de cross-country avec divers obstacles naturels (parcours Q, cross-country-course). Le parcours doit être effectué dans un temps donné. Si ce temps est dépassé, des points de pénalité sont attribués.

Saut d’obstacles : Le saut d’obstacles correspond aux règles de la discipline équestre « saut d’obstacles ». Le vainqueur du concours complet est en fin de compte le concurrent qui a le plus petit nombre de points de pénalité.

Ces trois sous-disciplines du concours complet touchent à presque toutes les exigences de l’équitation, tant pour le cavalier que pour le cheval : ainsi, pour le dressage, il faut de la grâce, de l’élégance et une expression stylée : Cheval d’arçon voltige equestre. Pour le saut d’obstacles, il faut de la force, de l’équilibre et de l’habileté dans le maniement des barres. Cheval equestre quebec. L’équitation de cross-country nécessite une grande dose de courage et d’endurance de force. C’est la combinaison de toutes ces facettes qui rend le concours complet d’équitation si varié et si exigeant.

La base du succès sportif polyvalent est bien sûr ici aussi la confiance mutuelle entre le cheval et le cavalier.

Outre le dressage et le saut d’obstacles, le concours complet d’équitation est également une discipline équestre olympique depuis 1912.

Équitation de chasse

La forme d’équitation de chasse la plus connue est sans doute la chasse à courre. Une meute de chiens – dans la plupart des cas des foxhounds ou des beagles – accompagne environ 20 à 25 cavaliers. Ils suivent une piste odorante artificielle, car la chasse au gibier vivant est interdite par la loi depuis les années 30. Cette forme d’équitation de chasse est un pur sport de loisirs, donc sans notes de valeur et sans réellement chasser ou même blesser des animaux. C’est plutôt la randonnée équestre dans la nature qui domine, associée à un caractère traditionnel.

Des centaines de cavaliers peuvent toutefois participer à un tel événement comme la chasse à cheval. Dans tous les cas, les participants reçoivent au préalable une invitation les informant du nombre et du type d’obstacles qu’ils rencontreront sur le parcours : Cheval equestre toulon. L’invitation indique également la longueur du parcours équestre. Ces informations sont très importantes pour que les participants puissent se préparer en conséquence à la chasse à cheval. Lors d’une chasse, les cavaliers franchissent aussi bien des obstacles fixes que des obstacles naturels. Le parcours peut ainsi comporter des fossés, des clôtures, des troncs d’arbre ou encore des murs.

Dans tous les cas, il est recommandé de renforcer au préalable la condition physique du cheval afin qu’il puisse galoper correctement sur de longues distances sans se surmener.

Équitation d’endurance

L’endurance est considérée comme la forme d’équitation la plus primitive. De tout temps, le cheval a servi à l’homme à parcourir de longues distances le plus rapidement possible. Dans sa forme moderne actuelle, l’endurance équestre n’est devenue populaire qu’il y a environ 50 ans. Cette discipline équestre est particulièrement populaire dans les pays arabes et en France.

Dans ce sport équestre, il s’agit avant tout de parcourir le plus rapidement possible une distance donnée avec le cheval. Pendant la randonnée, les chevaux doivent passer par des contrôles vétérinaires. Dans ces « Vet-Gates », les chevaux sont examinés et ne peuvent poursuivre l’endurance que s’ils ne présentent aucune anomalie. Dans le cas contraire, il y a une pause obligatoire, qui n’est toutefois pas comptée dans le temps de monte.

Le franchissement de la ligne d’arrivée ne marque toutefois pas la fin de l’endurance. Le cheval doit être présenté une nouvelle fois aux vétérinaires dans un laps de temps fixe après la course. L’endurance n’est considérée comme terminée que si les paramètres vitaux tels que le pouls et la respiration, la locomotion et l’état de santé général ne posent pas de problème. Le vainqueur n’est donc pas forcément celui qui franchit la ligne d’arrivée en premier.

Les épreuves d’endurance équestre se déroulent sur des parcours d’une longueur de 25 à 160 kilomètres par jour.

Équitation d’orientation

L’équitation d’orientation est une randonnée équestre dans la nature. Pour les débutants, la compétition consiste en une randonnée d’orientation et des épreuves de randonnée. La randonnée se déroule sur un parcours d’environ 25 à 40 kilomètres, mais celui-ci n’est communiqué que peu de temps avant le départ. Le tracé doit être respecté à la lettre pendant la randonnée d’orientation.

Pour les différentes sections équestres, il existe des consignes de vitesse fixes comprises entre 6 et 12 km/h. Des points de contrôle secrets permettent de vérifier à la fois le respect du parcours et le temps d’équitation.

Ensuite, il y a des tâches pour les cavaliers randonneurs, mais elles sont généralement réalisables sans problème, comme par exemple la traversée d’un pont.

Pour les cavaliers confirmés, la randonnée d’orientation se déroule sur une distance un peu plus longue, à savoir environ 35 à 45 kilomètres. Les épreuves de randonnée équestre sont également un peu plus complexes, comme les sauts de tronc d’arbre ou la traversée d’un labyrinthe. En outre, il existe une épreuve d’allure pour les cavaliers confirmés : il faut d’abord galoper, puis marcher.

En équitation d’orientation, le cavalier doit bien maîtriser la boussole et la carte. Le cheval a besoin d’une part de la condition physique nécessaire et d’autre part d’une bonne dose de nerfs. Les randonnées d’orientation se déroulent toutefois dans une atmosphère très serviable et amicale. Pour tous les cavaliers de randonnée qui aiment la nature, ce sport équestre est idéal !

Équitation western

Cette discipline est issue du style d’équitation des anciens cow-boys américains. Aux États-Unis, l’équitation western s’est développée pour devenir un sport de compétition. Cette discipline se caractérise par une faible utilisation des aides, une assise détendue et de longues rênes. Les compétitions d’équitation western se composent de différentes épreuves, qui s’inspirent chacune individuellement de la méthode de travail des cow-boys d’Amérique du Nord.

L’équitation western se compose des disciplines suivantes :

Trail

Ici, c’est avant tout la dextérité du cheval qui est demandée.

Cependant, d’autres qualités telles que l’aisance et la confiance sont également très importantes. Le trail consiste à simuler toutes les situations qu’un cavalier peut rencontrer lors d’une randonnée tout-terrain. Le terme « trail » se traduit par « randonnée ». Le cheval doit se déplacer calmement, en souplesse et de manière autonome, sans grande intervention de la part du cavalier, à travers les différents obstacles. Mais il doit aussi être capable de se laisser guider au centimètre près. Lors du trail, il faut surmonter divers obstacles tels que des traversées d’eau ou de ponts en bois. En outre, des tâches telles que le reculer et les déplacements latéraux doivent être accomplies.

Lors de cette épreuve d’adresse, le cheval doit franchir au moins six obstacles.

Pleasure occidental

Ici, l’accent est mis sur l’attitude correcte du cheval ainsi que sur les allures. Les actions et les aides du cavalier doivent être aussi fines et peu nombreuses que possible. Dans les épreuves de pleasure, le juge indique ce que le cavalier doit réaliser avec son cheval. Cette sous-discipline donne l’impression aux spectateurs d’être décontractée et sans effort, mais elle exige du cheval comme du cavalier comme du cavalier un maximum de concentration.

Reining

Cette discipline peut être traduite par « rênes » et est actuellement la plus populaire dans l’espace européen. Cheval equestre voltige. Il s’agit d’exécuter des figures rapides avec une grande précision, comme les spins (tourner rapidement plusieurs fois), les rollbacks (galoper, tourner à 180 degrés et repartir au galop) ou les sliding stops. Depuis 2000, le reining est reconnu comme une discipline officielle de la FEI.

Western Horsemanship

Ici, l’assise du cavalier et son action sur le cheval sont évaluées. L’accent est également mis sur l’exécution correcte et très précise des tâches.

  Quels sont les coûts uniques et courants d'un cheval ?

Équitation occidentale

Ici, le cheval doit être capable de maintenir une vitesse constante et d’effectuer de nombreux changements de galop avec précision.

Ranch Riding

Ici, on monte à travers des manœuvres et des allures supérieures. La maniabilité et l’aptitude à monter du cheval sont des critères d’évaluation essentiels.

Showmanship at Halter

Ici, l’accent est mis sur la conduite correcte du cheval ainsi que sur l’exécution de petites tâches.

Superhorse

Il s’agit d’une épreuve pour les vrais cavaliers polyvalents, qui réunit des éléments des quatre disciplines partielles que sont le riding, le western riding, le trail et le reining.

Working Cowhorses

Cette discipline se compose de deux parties distinctes.

D’une part, la première étape consiste à monter une épreuve de reining. Ensuite, un bovin est placé dans la carrière du cheval. Le cavalier et son cheval doivent contrôler le bovin pendant au moins deux minutes.

Horse &amp ; Dog Trail

Ici, le cavalier doit effectuer un parcours de trail avec son cheval et son chien.

Épreuves d’allures

Il s’agit d’épreuves équestres spéciales, conçues exactement en fonction des caractéristiques des races de chevaux d’allure. L’expressivité des chevaux est donc la base de l’évaluation.

Les épreuves d’allures sont surtout connues dans l’État insulaire scandinave d’Islande et sont également utilisées ici en premier lieu pour les chevaux islandais. Les épreuves portent par exemple sur les allures spéciales « Passage » et « Tölt ». Il existe également des niveaux de difficulté spécifiques. Les épreuves d’allures comportent également des défis particuliers pour le cavalier et le cheval, comme par exemple les épreuves sur neige – au lieu de la piste de sable spéciale pour le tölt.

Équitation artistique

La voltige équestre est une acrobatie artistique à dos de cheval qui s’est développée vers la fin du 18e siècle à partir de la discipline équestre de la voltige. Il ne s’agit pas ici d’un sport de compétition, mais plutôt de démonstrations acrobatiques et gymniques à cheval.

La voltige équestre s’observe souvent dans le cadre de spectacles ou de films de western. Les cascades à dos de cheval sont souvent très spectaculaires et nécessitent un cheval fort et fiable, mais aussi un cavalier physiquement en forme et entraîné.

Courses de chevaux

Les courses de chevaux sont considérées comme l’un des plus anciens sports équestres organisés. Les chevaux doivent parcourir une certaine distance le plus rapidement possible. Les chevaux de sang sont idéaux pour cette discipline équestre, car ils sont résistants, puissants et endurants. Ils ont un corps mince et athlétique et de longues jambes. Ils sont donc idéaux pour les courses de chevaux. Dans la plupart des cas, de très jeunes chevaux sont utilisés pour les courses, âgés de trois à sept ans.

A l’origine, les courses de chevaux étaient une simple représentation de la performance des chevaux d’élevage. Aujourd’hui, les courses de chevaux sont devenues un loisir très populaire, y compris chez nous : Cheval noir equestre. Cette discipline équestre fait partie des épreuves de performance, ce qui signifie que les chevaux montrent les qualités qu’ils possèdent pour un éventuel élevage ultérieur. Les critères de performance importants pour cette sélection d’élevage sont par exemple la résistance du cheval, son état de santé ou la grâce de ses mouvements.

Le terme « derby » est souvent utilisé pour désigner les courses de chevaux. Autrefois, l’hippodrome était appelé « champ de courses ». Aujourd’hui, on parle plutôt de « turf ».

Les paris sur les courses de chevaux sont populaires depuis le XIXe siècle environ et apportent un certain frisson aux personnes qui assistent à la manifestation sportive.

Jeux équestres

Cette catégorie comprend des disciplines équestres traditionnelles comme le jeu équestre afghan « bushkashi », le horseball ou le très célèbre polo.

Polo : il y a quatre cavaliers par équipe de polo. Les joueurs essaient d’envoyer une petite balle dans le but de l’adversaire à l’aide d’un long maillet en bois (Cheval équestre hippique). En règle générale, un match de polo se compose de quatre périodes de jeu, appelées chukkas dans le jargon. Chaque période de jeu dure 7,5 minutes. Le chronomètre est arrêté à chaque faute. Au polo, chaque cavalier porte un casque de polo avec une protection faciale. Après chaque période de jeu (chukka), les chevaux doivent en outre être changés, car cela pourrait sinon devenir trop fatigant pour les animaux.

Le polo ne fait pas seulement appel aux cavaliers et aux chevaux, mais aussi aux spectateurs. Pendant la mi-temps, ils peuvent s’activer et rentrer les morceaux de gazon éjectés sur le terrain de polo lors de ce que l’on appelle le « tritt-in ».

Le polo a été une discipline sportive olympique à cinq reprises, la dernière fois en 1936. Ici, chez nous, en France, cette discipline équestre est très rare : Il n’y a que peu de joueurs actifs.

Le horse-ball est une discipline sportive équestre qui est en quelque sorte une combinaison de basket-ball et de handball. Il s’agit donc de lancer un ballon muni de six boucles de cuir dans l’anneau de l’adversaire. Le but est un panier circulaire, précisément comme au basket-ball, d’un diamètre d’environ un mètre et suspendu à environ 3,5 mètres de hauteur. Avant chaque tir au but, il doit y avoir eu au moins trois passes de jeu. Chaque équipe est composée de quatre joueurs. Le jeu est divisé en deux mi-temps, chacune d’une durée de 10 minutes. La pause entre les deux mi-temps dure trois minutes.

Ce jeu d’équitation s’inspire des jeux équestres traditionnels orientaux et du pato, le sport national argentin, mais il a été créé en France.

Le horse-ball est un sport assez rapide qui nécessite d’une part une certaine acrobatie et d’autre part un très bon savoir-faire équestre (Cheval équitation voltige). En France, on compte aujourd’hui environ 5000 joueurs actifs qui s’affrontent dans cinq ligues. Mais le horse-ball est également pratiqué en Angleterre, en Espagne, en Belgique, au Portugal, en Italie et même en Autriche.

Voltige

La voltige consiste à réaliser de véritables prouesses acrobatiques sur un cheval au galop. Ainsi, cette discipline équestre est en fait une gymnastique sur le dos du cheval. Pendant la voltige, le cheval entraîné est tenu en longe par un longeur formé, afin de garantir un déroulement des mouvements aussi constant que possible. Pour de nombreux enfants et adolescents, la voltige est souvent le premier pas vers le sport équestre.

Le cheval de voltige doit répondre à certaines exigences que tous les chevaux ne peuvent pas remplir dans la même mesure. Les chevaux doivent être calmes, dociles, patients et sages. De plus, la voltige se pratique généralement au galop, c’est pourquoi les chevaux de voltige doivent pouvoir galoper avec élan, mais de manière régulière. De plus, les chevaux doivent parfois porter plus de trois voltigeurs à la fois : c’est pourquoi ils doivent aussi avoir un dos fort et solide. Dans cette optique, les chevaux de voltige doivent répondre à une autre exigence : Ils doivent avoir un dos relativement large. Même si le dos large n’est pas une condition obligatoire, il est nettement plus facile pour les voltigeurs si les chevaux possèdent tout de même cette caractéristique.

Ce sport équestre s’apparente davantage à la gymnastique et aux acrobaties gymniques qu’à l’équitation. Les voltigeurs doivent donc également posséder certaines qualités physiques : Ils doivent être bien échauffés et étirés. Il est également très important d’avoir une musculature puissante afin d’éviter les blessures. En outre, il est important d’entraîner son propre sens de l’équilibre.

Avant de commencer la voltige à dos de cheval, les exercices au sol doivent être parfaitement maîtrisés. C’est pourquoi la plupart des entraînements se font sur un cheval de bois. Ce n’est que lorsque les exercices de gymnastique peuvent être exécutés à la perfection que le passage sur le cheval de voltige a lieu.

Les premiers championnats français de voltige ont eu lieu en 1963. Les premiers championnats d’Europe ont eu lieu en Autriche en 1984 et les premiers championnats du monde de voltige ont eu lieu en Suisse en 1986.

Dans ce sport équestre, il existe des épreuves nationales et internationales qui peuvent se dérouler en individuel, en double ou en groupe.

En individuel, les hommes et les femmes concourent séparément. La voltige en double est également appelée pas de deux : Deux voltigeurs prennent toujours le départ. La séparation des sexes ne joue plus aucun rôle, un couple mixte peut donc également concourir : Equestre cheval prix. Un groupe de voltigeurs peut également compter six ou même huit voltigeurs. Mais en compétition, seuls trois au maximum peuvent être à cheval en même temps.

  Fontaines à eau pour chats et distributeurs d'eau pour chats

Attelage

Cette discipline équestre consiste essentiellement à conduire une voiture ou un attelage. Comme dans le sport équestre lui-même, on distingue différentes disciplines. Celles-ci se distinguent par les exigences posées au conducteur et au cheval. Cette discipline sportive s’est développée à partir de l’attelage pour l’usage quotidien. Les disciplines les plus connues aujourd’hui sont le dressage, l’obstacle et le cross-country.

Que ce soit pour le loisir ou la compétition, de plus en plus de passionnés de sports équestres se sont tournés vers cette discipline ces dernières années. L’attelage n’a pas encore pu être réintégré au programme olympique, mais cette discipline est néanmoins de plus en plus populaire.

Para-équestre

Pour les personnes handicapées, l’équitation est un sport idéal qui peut également être pratiqué avec des personnes non handicapées. Il existe à cet effet des aides particulières, comme des selles spéciales, qui permettent aux personnes souffrant de graves handicaps mentaux ou physiques de pratiquer l’attelage, la voltige ou l’équitation. Même les aveugles peuvent pratiquer le para-équestre. Il ne faut toutefois pas confondre l’équitation pour personnes handicapées avec l’équitation thérapeutique.

Le para-équestre est organisé depuis 2006 sous l’égide de la Fédération équestre internationale (FEI).

Hestadagar

Ce terme vient de la langue islandaise et se traduit en français par « journées du cheval ». Concrètement, il s’agit de différentes compétitions événementielles pour les cavaliers de loisirs.

Il s’agit d’un programme d’épreuves spécialement adapté aux capacités et aux possibilités des cavaliers de loisirs. Le Hestadagar met plutôt l’accent sur le fair-play et le contact entre le cavalier et le cheval. Le « horsemanship », la confiance et l’harmonie font partie intégrante des critères d’évaluation et de notation. L’aspect sportif est donc nettement moins important que dans les autres disciplines équestres. En conséquence, les épreuves ont plutôt un caractère ludique et de loisir.

Équitation de loisir

Il s’agit ici de monter à cheval dans la belle nature. L’équitation de loisir s’oppose donc fondamentalement à l’équitation de saut ou de dressage. Dans cette discipline, c’est l’attitude spécifique du cavalier vis-à-vis du cheval qui prédomine, ainsi que la manière de traiter l’animal en conséquence.

L’équitation de loisir consiste donc avant tout à monter de manière adaptée au cheval et à s’occuper de l’animal de manière appropriée. Cette discipline équestre ne doit pas seulement procurer du plaisir à l’homme, mais aussi satisfaire pleinement le cheval. Les principes fondamentaux sont donc ici la relation de confiance et d’intimité entre le cheval et l’homme, mais aussi le respect de notre nature.

Les compétitions et les succès sportifs ne jouent en général aucun rôle dans l’équitation de loisir.

L’équitation de randonnée

La principale différence entre l’équitation régulière et l’équitation de randonnée est la durée de la randonnée. Lors d’une randonnée régulière, on ne passe que quelques heures avec le cheval. En revanche, une randonnée équestre dure généralement plusieurs jours : (Equitation chevaux quebec). C’est la raison pour laquelle la plupart des cavaliers ne peuvent pratiquer cette discipline que pendant les vacances ou les congés, soit avec leur propre cheval, soit avec un cheval emprunté.

En règle générale, l’itinéraire de randonnée est choisi à l’avance. En France, par exemple, il existe de nombreux sites Internet et guides qui décrivent précisément plus en détail de tels itinéraires pour la randonnée équestre.

Quadrille et formation

Le quadrille est une forme d’équitation de formation. Un groupe de cavaliers y présente différentes figures de maréchal-ferrant, coordonnées et harmonisées avec précision. L’allure des chevaux est généralement jouée sur le thème ainsi que sur une musique appropriée.

Un quadrille classique se compose de huit chevaux ou plus. Entre-temps, la plupart des cavaliers montent toutefois en petites formations de 4 ou 6 couples. Mais dans la variante classique, il s’agit avant tout que le nombre de participants soit divisible par quatre – d’où le nom de « quadrille ».

Travail au sol

« Travail au sol » est un terme très large.

Il englobe en fait toutes les activités avec le cheval que l’homme dirige depuis le sol. Il s’agit par exemple du travail à la longe en voltige, de l’entraînement à la sérénité d’un cheval, du travail manuel classique ou encore des leçons de cirque.

Le contact avec les chevaux est toujours une question de respect et de cohabitation harmonieuse, notamment pour garantir la sécurité du cavalier et du cheval. Parcours cheval equestre. Pour cela, il existe des bases que chaque cheval doit connaître et assimiler, qu’il s’agisse d’un cheval de dressage, de loisir, de voltige ou d’obstacle.

Un travail au sol ciblé sert précisément à cela, c’est-à-dire à apprendre et à consolider ces bases si importantes. La collaboration et la relation de confiance entre le cheval et l’homme s’améliorent sans cesse grâce à l’entraînement quotidien et sont complétées par des exercices toujours nouveaux et plus diversifiés. On aborde ainsi un autre objectif du travail au sol, à savoir l’instauration de la confiance. Par ailleurs, le travail au sol consiste également à assouplir, renforcer et étirer la musculature du cheval par un travail de longe ou de gymnastique varié.

Le travail au sol peut et doit être une alternative passionnante à l’équitation. Il ne doit donc pas remplacer l’équitation pour le cheval. Au contraire, le travail au sol prépare le cheval à l’équitation et permet à l’animal d’apprendre plus rapidement de nouvelles tâches.

L’équitation thérapeutique

Cette discipline équestre consiste à promouvoir la santé de personnes souffrant de divers troubles ou handicaps par le contact avec le cheval. Traditionnellement, cette promotion se fait à travers quatre domaines centraux :

L’équitation thérapeutique

Ce domaine est également connu sous le nom de pédagogie équestre et favorise un contact intensif entre l’homme et le cheval.

Les personnes souffrant de handicaps physiques ou mentaux, en particulier, sont ici abordées de manière globale – c’est-à-dire physiquement, mentalement, socialement et émotionnellement. Le contact se fait d’une part par l’équitation, mais d’autre part aussi par d’autres activités loin du manège, comme par exemple les soins au cheval ou le travail à l’écurie.

  • Voltige pédagogique curative

Ce type d’équitation thérapeutique se pratique généralement en groupe.

  • Équithérapie

L’équithérapie est souvent utilisée comme soutien dans le traitement de maladies psychosomatiques et psychiques. Il s’agit par exemple de troubles traumatiques, de maladies schizophréniques ou de dépressions. L’équithérapie est également utilisée pour les personnes souffrant d’un handicap mental. Dans la mise en œuvre pratique, il existe de grandes similitudes avec l’équitation thérapeutique.

  • Hippothérapie

Cette forme d’équitation thérapeutique comprend le traitement kinésithérapeutique d’une personne sur un cheval.

Disciplines FEI – lesquelles en font partie et lesquelles sont même olympiques ?

La Fédération équestre internationale (FEI) est la fédération internationale des sports équestres et, de ce point de vue, l’organisation faîtière de l’ensemble des sports équestres. Elle regroupe les sports équestres suivants : saut d’obstacles, dressage, voltige, attelage, para-dressage, para-attelage, concours complet et endurance.

Le saut d’obstacles, le concours complet et le dressage sont également les disciplines représentées aux Jeux olympiques lors des tournois et des compétitions.

La France Reiterliche Vereinigung e. V. (Fédération Équestre Nationale, abréviation FN) est l’organisation faîtière de tous les éleveurs, cavaliers, meneurs et voltigeurs en France. La FN est organisée au sein de la Fédération Equestre Internationale (FEI) et est responsable de l’équitation, de l’attelage et de la voltige au sein de l’Association Olympique Sportive Allemande.

Étiqueté dans :

, ,